Il se retrouve seul en tête alors qu’il reste 70 kilomètres à parcourir. Il soutient notamment le coureur breton Jean Fontenay qu’il rencontre en 1939 lors du Grand Prix de Saint-Méen et que ce dernier remporte. Septième du classement général final, il remporte le grand prix de la montagne. Huitième du Grand Prix de Nice et cinquième du Grand Prix de Cannes, ses débuts sont encourageants mais il commet encore des erreurs tactiques en produisant trop d’efforts dans les moments inopportuns et manque d’endurance. Après le Tour, il remporte la Polynormande et plusieurs critériums avant de s’aligner pour la première fois au départ du Tour d’Espagne qu’il termine à la cinquième place, devancé comme sur le Tour par son grand rival français, Laurent Jalabert, qui l’emporte. Elle gagne également une étape du Tour de Burgos. Le détenteur du maillot jaune (1er du classement général) reçoit une récompense quotidienne de 500 €. Alaphilippe s’adjuge ainsi les maillots jaune et vert, avec 12 secondes d’avance sur Matthews, 14 sur Roglič et 18 sur leurs 18 poursuivants, dont le tenant du titre Tadej Pogačar, qui s’empare du maillot blanc. Les anciens vainqueurs du maillot à pois présents au départ sont Christopher Froome, Nairo Quintana, Romain Bardet, Warren Barguil et Tadej Pogačar.
Bien que n’ayant pas l’âge requis et n’étant pas licencié, Louison Bobet prend le départ de la course sans dossard et l’achève à la 17e place. Son départ en 1963, dû à des divergences de vue avec les dirigeants, coïncide avec la chute sportive du club, qui n’a plus remporté depuis de trophée de premier ordre. Un mois plus tard, la France affronte la Serbie et l’emporte (2-1, buts de Henry et Anelka). Les Françaises terminent ensuite la préparation par un tournoi dans le nord de la France où elles remportent leurs trois rencontres, face au Brésil, la Chine et l’Australie pour se rassurer face à l’adversaire numéro un du groupe. Les six rencontres de la première journée du premier tour du tournoi féminin de football sont programmées pour cette première journée. Alors que ses furoncles le font toujours souffrir, il est dépassé par Briek Schotte et Guy Lapébie et se classe finalement quatrième de ce Tour de France. Il se classe deuxième de celle-ci, disputée à Bédée, puis quatrième de la finale régionale à Rennes, ce qui lui vaut de faire partie de la sélection bretonne pour la finale nationale à Montluçon, le 3 juin 1943. Pendant cette course, il dépense beaucoup d’énergie en roulant en tête du peloton.
Il a également porté le maillot jaune à l’issue de la quatrième étape, puis de la quinzième étape à la fin de la course. Il perd le maillot jaune au profit du futur vainqueur Gino Bartali lors de la 14e étape entre Briançon et Aix-les-Bains. ». Bartali déclare quant à lui son admiration pour le jeune coureur breton : « En un mot, il m’a émerveillé. Dans les Alpes, Gino Bartali passe à l’offensive. En difficulté dès la première étape à la suite de plusieurs crevaisons, il passe à l’attaque dans la dernière et franchit en tête le col du Berthiand. C’est sur ce vélo qu’il dispute sa première course, en 1938, alors que se tient à Saint-Méen-le-Grand le Premier pas Dunlop, une épreuve destinée aux jeunes coureurs de 16 à 18 ans et licenciés à l’Union vélocipédique de France. En 1943, il signe sa première licence au Cyclo-Club rennais et prépare le Premier pas Dunlop, une épreuve annuelle pour les débutants qui commence par une course départementale éliminatoire. L’année suivante, Louison Bobet réalise un début de saison moyen, avec une fracture de la clavicule sur Paris-Roubaix, une 35e place au Critérium national et des résultats peu remarqués sur les autres courses.
Tout en s’entraînant, Bobet s’initie également à la mécanique en portant une attention particulière à l’entretien de son vélo de course. Malgré une crevaison qui le retarde en début de course, son père le convainc qu’il a encore une chance de revenir sur les autres coureurs. Le rythme soutenu entraîne la défaillance de certains coureurs. Après chaque étape, les temps des coureurs sont ajoutés avec leurs temps précédents. Le 22 octobre 2013, il quitte son poste en même temps que le sélectionneur Rachid Taoussi. Rang Joueur Poste Ligue des Nations disputée Sél. Il dispute son premier Tour de France, à seulement 22 ans, maillot real madrid 2025 2026 en tant que coéquipier de René Vietto. Au Tour d’Italie, la formation réalise un récital. La fin du Tour est pénible pour Bobet. Lors du championnat de Bretagne, Louison Bobet tente une échappée, en vain, puis est battu au sprint par Raymond Scardin. Le lendemain, ces équipiers roulent une bonne partie de l’étape afin de lâcher certains sprinteurs dans les quelques bosses du parcours, mais ne parviennent pas à revenir sur le dernier coureur échappé, le Belge Taco van der Hoorn qui remporte la victoire. Louison Bobet attaque une première fois, puis une seconde afin de décrocher Louis Thiétard, le dernier coureur à le suivre.