C’est surtout en mai que la lutte contre la presse pro-versaillaise prend de la vigueur : le 5 mai, 7 journaux sont supprimés, le 11 ce sont 5 autres journaux dont Le Vengeur et le 18 mai, 9 autres. La presse pro-versaillaise continuant ses attaques, le 9 avril, la Commission de Sûreté générale rappelle que la « déclaration préalable » reste en vigueur. Une commission exclusivement composée de femmes est formée le 21 mai pour réfléchir sur l’instruction des filles. Pendant la Commune, sous l’impulsion d’Élisabeth Dmitrieff, jeune militante russe de l’Internationale, et de Nathalie Lemel, ouvrière relieuse, se crée l’un des premiers mouvements féminins de masse, l’Union des femmes pour la défense de Paris et les soins aux blessés. Cet admirateur de Pierre Ebede a joué pendant quatre saisons au Puissance Avenir, petit club amateur de son quartier dans la banlieue de Yaoundé jusqu’à ses 14 ans, tout en travaillant comme apprenti-pâtissier. Depuis les années 1950, les montées du club dans l’élite s’accompagnent régulièrement d’un nouveau record d’affluence moyenne. Sont aussi décidées la confiscation des biens de Thiers et la destruction de son hôtel particulier à Paris (Thiers se fera rembourser plus d’un million de francs). La Commune doit faire face à l’absentéisme des fonctionnaires, qui pour une grande part sont partis à Versailles avec Adolphe Thiers ou restent chez eux comme ce dernier le leur ordonne.
Ils se livrent à des attaques violentes contre le soulèvement et relaient les mots d’ordre politiques de Thiers. Des femmes se battent – comme Louise Michel et d’autres – sous l’habit des « fédérés » et défendent Paris contre les « Versaillais » sur les barricades (elles sont une centaine, place Blanche, avec Nathalie Lemel), rejoignent le front en tant qu’ambulancières ou vivandières – les témoignages de Victorine Brocher ou d’Alix Payen nous sont parvenus – ou poursuivent les gardes nationaux réfractaires dans Paris – une légion des Fédérées armée est levée pour cette tâche. D’autres sont élus, comme Corot, Manet, Daumier (ils sont pourtant absents de Paris) mais Courbet est le seul peintre connu à s’y impliquer de façon résolue (Cézanne, Pissaro et Degas quittent la ville durant le siège prussien avant la période de la Commune). Les Auxerrois réalisent une bonne première période avec plusieurs occasions. Engagés en Coupe de France et Coupe de la Ligue, les Alsaciens effectuent un parcours notable dans la première compétition en atteignant les quarts de finale avant d’être éliminé par le FC Chambly.
Il remporte la coupe 4 fois d’affilée entre 1995 et 1998, avant s’incliner en finale en 1999. Al Gharafa est sacré champion du Qatar pour la deuxième fois de son histoire en 1998. Sur le plan international le club remporte la Coupe arabe des vainqueurs de coupes en 1999. Lors de cette même année, Fabrice Akwa signe au club. L’OL s’est imposé une seule fois en finale de Coupe de la Ligue, en 2001 face à l’AS Monaco FC, à la suite de prolongations. Son prêt est alors terminé, il revient à Porto, avant d’être prêté une nouvelle fois dans un autre club. Dans un premier temps, les joueurs français joueront essentiellement avec une tenue entièrement bleue. Ce but est le premier marqué par le brésilien depuis sa blessure. Les enfants légitimés sont considérés comme reconnus de droit ; le mariage libre par consentement mutuel est instauré (avec un âge minimum de 16 ans pour les femmes, 18 ans pour les hommes) ; la gratuité des actes notariaux (donation, testament, contrat de mariage) est décidée. Le personnel enseignant, qui est à la charge des municipalités, reçoit une rémunération de 1 500 francs annuels pour les aides-instituteurs et 2 000 pour les directeurs, avec égalité de traitement entre hommes et femmes.
Article détaillé : Femmes dans la Commune de Paris. Article détaillé : Journaux de la Commune de Paris. Dès le 18 avril, la Commune menace d’interdiction les journaux « favorables aux intérêts de l’armée ennemie » qui continuent tout de même de paraître. La liberté de la presse est réaffirmée le 19 mars par le Comité central de la Garde nationale et les journaux anti-communards continuent donc de paraître à Paris. Pour tempérer l’activité répressive de Rigault à la Sûreté générale, une sorte d’habeas corpus est mise en place par Eugène Protot : les cas des suspects arrêtés par le Comité central de la Garde nationale ou la Sûreté doivent recevoir une instruction immédiate (8 avril) ; les perquisitions et réquisitions sans mandat sont interdites (14 avril) ; il est obligatoire d’inscrire le motif de l’arrestation sur les registres d’écrou (18 avril) ; une inspection des prisons est créée (23 avril). Comité central de la Garde nationale énonce que « les membres de l’assemblée municipale, sans cesse contrôlés, surveillés, discutés par l’opinion, sont révocables, comptables et responsables » et que leur mandat est impératif. Dans le domaine des cultes, la Commune rompt avec le concordat de 1801 qui faisait du catholicisme « la religion de la majorité des Français » et des membres du clergé des fonctionnaires.